Témoignages
Nombreux sont les parents, les éducateurs et les médecins qui ont constaté l’efficacité et la sécurité d’emploi de Métaquine® chez les écoliers en difficulté. Pour s’en convaincre à leur tour, les intéressés trouveront ci-après une sélection de témoignages. L’enthousiasme unanime qu’ils reflètent vaut toutes les démonstrations.
Avertissement : pour des raisons de confidentialité médicale, les noms de famille ci-dessous sont abrégés à leurs initiales et les photographies des témoins remplacées par un portrait stylisé, sans lien avec des personnes réelles.
« Maintenant, je n’ai plus tout le temps envie de bouger et de parler. J’écoute la maîtresse et je suis les consignes. Comme ça, la classe entière ne s’énerve plus contre moi. »
Gaétan M., 8 ans.
« Déjà, après une semaine, mes notes sont remontées. Alors que je ne bossais plus que vingt minutes chaque soir, au lieu des heures et des heures que je passais avant sur mes bouquins, à rêvasser sans rien retenir. Ça a été comme un déclic dans ma tête. Magique, je dirais même. »
Philomène F., 14 ans.
« Sam nous donnait beaucoup de soucis. Ses maîtres, les voisins, son entraîneur, tout le monde s’en plaignait. Avec nous, il devenait fuyant, dissimulateur, toujours dans l’opposition et le conflit. Au collège, c’était encore pire. Pas une semaine ne s’écoulait sans qu’on reçoive des plaintes. Il rackettait les petits dans le bus, insultait ses professeurs, taguait les murs du quartier. Heureusement, le psy à qui on a dû l’adresser a su gagner sa confiance. Sam a admis qu’il se sentait mal dans sa peau et a accepté de prendre les médicaments prescrits. Depuis, tout est rentré dans l’ordre. Ses résultats scolaires, ses loisirs, ses fréquentations. Il a cessé de mentir et d’agresser ses camarades. On a retrouvé notre fils. Vraiment. »
Maude et Jean-Gabriel C.,
parents de Samuel, 15 ans.
« Paule-Victoire se sent tellement plus à l’aise, tellement plus sûre d’elle. Je n’ose pas imaginer ce qu’il en aurait été de son équilibre mental, de sa scolarité, de ses cours de danse, de sa qualité de vie, même, sans ces petites gélules qui ont tout changé. »
Adelaïde de G.,
maman de Paule-Victoire, 17 ans.
Et des millions d’autres enfants :
Voir notre galerie de portraits. Mieux que des mots, tous ces visages épanouis disent les bienfaits du traitement de GlobantisPharma.
Pour nous, Métaquine® n’est pas un blockbuster, un moyen de gonfler nos bénéfices. C’est une innovation majeure, dont ni la médecine ni le public n’ont encore pris la mesure. Nous croyons en notre molécule. Les enfants traités vont réellement mieux. Ils surmontent leurs problèmes, deviennent plus souples de comportement, s’adaptent plus aisément à leur entourage. Et ce n’est là qu’un premier succès. »
Curtis Candrian, Product Manager,
GlobantisPharma
« Je n’y croyais pas, imbu des préjugés freudiens qui ont trop longtemps influencé notre pratique. Et puis, mes confrères s’y sont mis et m’ont rapporté leurs expériences. Trop beau pour être vrai, me suis-je dit d’abord. Mais devant l’abondance et la solidité des résultats cliniques, mes réticences sont tombées. J’ai commencé à en prescrire moi aussi. Depuis, ma confiance dans le produit n’a jamais été prise en faute. »
Dr Karel A., pédopsychiatre.
« Le silence, enfin. Plus de bruit, plus de bavardage, quel bienfait. On n’avait plus entendu ça depuis des semaines. […] La moyenne générale, qui était catastrophique jusqu’ici, a rejoint celle des classes parallèles. [Les élèves] ont progressé en arithmétique, en anglais, en informatique. Ils sont plus attentifs, mieux structurés. Si on continue au même rythme, j’ai bon espoir de boucler le programme avant la fin du trimestre. »
Milène T.-J., enseignante et maîtresse de classe
(Métaquine®, Régis 6)
Ma fille en prenait, et aussi mes nièces et les enfants d’une collègue de travail. C’est elle qui m’a demandé un jour : “Tu sais que ça marche aussi chez les adultes ?”. Sur le moment, on a rigolé. Mais deux mois plus tard, quand la boîte s’est mise à débaucher et que les cadences de travail sont devenues intenables, on s’est souvenu de l’info. Sérieusement, cette fois-ci. J’en ai parlé à mon généraliste, qui m’en a donné à l’essai. Essai concluant, et sur toute la ligne. C’est grâce à ça que j’ai tenu le coup et gardé mon boulot.